• Depuis le 8 juillet dernier, le petit Emile est introuvable. Alors qu’il avait été déposé chez ses grands-parents dans la matinée, l’enfant de deux ans et demi a disparu en l’espace de quelques secondes. La disparition a rapidement été signalée par la grand-mère d’Emile. Très vite, une battue a été organisée où plus de 800 bénévoles se sont rendus dans le village du Haut-Vernet pour prêter main forte. Mais en vain… L’enquête s’est ensuite poursuivie par les gendarmes, mais elle a eu beaucoup de mal à avancer. Après avoir bouclé le village, toutes les habitations ont été fouillées dans les moindres recoins. Des interrogatoires ont également eu lieu. Mais malgré tous les efforts des enquêteurs, le petit Emile n’a toujours pas refait surface au grand désespoir de ses parents et de toute sa famille.


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  • Le 16 octobre 1984, le petit Grégory Villemin, 4 ans, a été retrouvé dans de sombres circonstances dans la rivière de la Vologne. Près de 40 ans après le drame, les parents, Christine et Jean-Marie Villemin, attendent toujours la vérité.

    C’est un fait-divers qui a secoué la France dans les années 80 et qui reste encore un mystère pour le monde entier. Le corps inerte du petit Grégory, âgé de 4 ans, est retrouvé dans une rivière de la Vologne à Docelles, le 16 octobre 1984. Une triste image du corps repêché est photographiée ce jour-là par Patrick Gless, un journaliste présent sur les lieux du crime. Publiée le lendemain dans la presse, l’image provoque un véritable tollé médiatique autour de l’affaire. Une seule question subsiste : qui se cache derrière le meurtre du petit Grégory ? 

    Que s’est-il passé le jour de la disparition de Grégory ? 

    Alors qu’il jouait dans le jardin de la maison de ses parents, le petit garçon disparaît des radars. Sa mère, Christine Villemin, repassait alors des vêtements à l'intérieur du domicile. Au bout d’une vingtaine de minutes, elle se rend compte que son fils de 4 ans a disparu. Elle questionne alors le village et la nourrice pour tenter de le retrouver, mais en vain.

    Une fois rentrée à son domicile, elle reçoit un appel téléphonique de sa belle-mère, Monique. Elle lui annonce alors le pire. Son fils, Michel aurait reçu un appel anonyme à 17h32, revendiquant le meurtre de Grégory. "Je te téléphone car cela ne répond pas à côté. Je me suis vengé du chef et j'ai kidnappé son fils. Je l'ai étranglé et je l'ai jeté dans la Vologne. Sa mère est en train de le chercher mais elle ne le retrouvera pas. Ma vengeance est faite". Un message inaudible pour la mère qui ne comprend pas ce qui se passe. Quelques heures plus tard, le corps de l’enfant est finalement retrouvé

    Qui se cache derrière le ou les corbeaux ? 

    Dès le lendemain du crime, les parents, Christine et Jean-Marie commencent à recevoir de mystérieux courriers signés par un “corbeau” qui revendique le meurtre de Grégory. Le ou les auteurs de ces lettres n’ont jamais été identifiés par la police, bien que de nombreuses hypothèses subsistent. Bernard Laroche, Muriel Bolle, Marcel et Jacqueline Jacob... les pistes des enquêteurs sont nombreuses. 

    Le mercredi 20 mars 2024, près de 40 ans après la disparition du petit Grégory, la justice a ordonné de nouvelles expertises ADN. Une demande formulée par les parents du garçonnet, par le biais de leurs avocats, en septembre 2023, à la chambre de l'instruction de la Cour d'appel de Dijon. Dans sa décision, la chambre de l'instruction requiert des comparaisons avec les traces d'ADN retrouvées sur les cordelettes qui ont servi à attacher l'enfant, sur l'anorak que Grégory portait le jour de sa mort et les traces d'ADN retrouvées sur son menton. Certains courriers du corbeau, dont celui envoyé le 16 octobre 1984, vont aussi être comparés avec l'ADN de plusieurs suspects.

    Des expertises qui pourraient enfin permettre aux parents Villemin de découvrir la vérité et démasquer le ou les coupables derrière cette affaire.


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  • Le 3 mai 2007, le monde entier retient son souffle. Maddie McCann, une jeune britannique âgée de 3 ans, disparaît des radars au Portugal. Le soir de sa disparition, la fillette dormait avec ses deux petits frères dans un luxueux complexe hôtelier, à Praia da Luz, en Algarve. Tandis que les parents, Gerry et Kate McCann, dinaient dans un restaurant situé à seulement quelques mètres. Au cours de la soirée, la mère de Maddie se rend à l’hôtel pour s’assurer que ses enfants dorment dans la chambre. Elle va d'abord voir ses jumeaux qui dorment chacun dans leur berceau. Elle remarque ensuite que la porte de la chambre de Maddie n’est pas fermée. Lorsqu’elle s’y rend, elle fait une effroyable découverte. Les fenêtres sont ouvertes et la fillette s’est volatilisée.

     

    Aujourd’hui, 17 ans après les faits, le mystère demeure entier. De nombreuses hypothèses ont depuis vu le jour sur sa disparition et la liste des suspects s’est allongée, sans que la fillette ne soit jamais retrouvée. Enlèvement, trafic d’enfants, séquestration, les hypothèses sur le sort de la petite Maddie sont nombreuses mais surtout, restées sans réponse. Mais selon les informations dévoilées par le Sun, une nouvelle piste est explorée par la police pour tenter de résoudre l’affaire. Alors que l’enquête patine, les enquêteurs s'intéressent à un ami proche de Christian Brueckner, le principal suspect de l’affaire. Son ami, Ralph H. est dans le collimateur des policiers. En effet, les policiers auraient tenté de l’appréhender à son domicile à Brunswick, en Allemagne. Ils auraient également tenté de le joindre mais en vain. Selon le voisinage, l’homme de 56 ans est introuvable depuis plus d’une semaine. 


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  • Parce que
    Tout l'univers
    A conspiré
    À me faire arriver
    Jusqu'à toi.

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    Malgré l’intervention d’un important dispositif de secours ce jeudi 21 mars, l’enfant scolarisé en maternelle n’a pu être réanimé.

    À l’heure de la sortie des classes, ce jeudi 21 mars, personne ne mesure encore la réelle ampleur du drame qui vient de se nouer au pied du quartier Saint-Jean, à Beauvais. Tous savent qu’un enfant âgé de 4 ans a été victime d’un grave malaise cardiaque en fin d’après-midi, tout en ignorant que l’écolier est décédé

    Parents et élèves non informés du décès de l’enfant
    Pour préserver la sensibilité de chacun, la direction de l’institution Saint-Esprit a fait le choix d’un message dénué de toute information sur l’état de santé de la victime scolarisée en maternelle. Sur leur téléphone portable, les parents ont ainsi découvert qu’ils devaient venir chercher leurs enfants par les sorties situées à l’arrière de l’établissement, contrairement à d’habitude. D’autres ont été directement informés de la situation par les élèves eux-mêmes. « C’est mon fils qui m’a appelé pour me dire que la rue était barricadée. Ça fait peur de voir autant de policiers », confie une maman.

    « On est choqués. Ce n’est pas tous les jours qu’on voit un hélicoptère atterrir dans la cour du collège »
    Lilou, Élève de terminale
    Présent à la sortie de l’école, le directeur de l’école délivre un discours tout aussi évasif. « Un enfant a fait un malaise important, ce qui a nécessité la venue du Samu et d’un hélicoptère », indique Bruno Abart. Un déploiement de secours dont ont été témoins les élèves de l’établissement. « On est choqués. Ce n’est pas tous les jours qu’on voit un hélicoptère atterrir dans la cour du collège », confie Lilou, scolarisée en classe de terminale.

    Une enquête ouverte pour « recherche des causes de la mort »
    D’autres évoquent « un sentiment » d’incompréhension » après le déclenchement de la procédure anti-intrusion. « On était en cours de sport et on nous a confinés à l’intérieur du gymnase », souligne Nathan. Dans les salles de classe, les autres élèves sont soumis aux mêmes restrictions. « On avait interdiction de sortir et de s’approcher des fenêtres. Les rideaux ont aussi été tirés », précise Adam, 12 ans. Car dans la cour de récréation du collège où se pose l’hélicoptère, les secours multiplient leurs efforts pour ramener l’enfant à la vie. Malheureusement, l’hélicoptère quittera les lieux sans la victime, décédée sur place. Pour éviter aux élèves la vue de ce drame, les pensionnaires de l’établissement ont été invités à quitter l’institution Saint-Esprit par petits groupes en évitant d’emprunter la cour.

    Quelques jours après l’effroyable drame qui s’est joué à l’Institution du Saint-Esprit de Beauvais, une cagnotte a été ouverte sur le site Leetchi par les parents du petit Naël, 4 ans, décédé jeudi 21 mars. Elle servira à financer les obsèques de l’écolier.


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  • Silencieuse depuis une opération de l'abdomen au mois de janvier dernier, Kate Middleton a révélé, dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, être atteinte d'un cancer et avoir débuté un protocole de chimiothérapie


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  • Un bonjour, un café, un biscuit, un sourire...
    Chacun de nous peut aider à sa façon.
    Tuons cette indifférence à coup de chaleur humaine.


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  • Dans certaines circonstances..
    Il faut savoir donner un coup de pied !
    À certains préjugés !!
    Car l'amour :
    Ce n'est pas une question d'âge...
    Quelle importance d'avoir trente..
    Cinquante ans ou plus...
    Ce qui est important !
    C'est l'âge qui nous correspond...
    L'âge indiqué sur notre carte d’identité !
    N’est pas forcément..
    Celui que nous avons !
    Et croire que l’amour a un âge !
    C’est dire qu’il a un point final...
    Il faut juste avoir l'âge..
    De caresser nos rêves !
    Et de voir nos illusions..
    Se transformer en espoir...
    Penser que l'amour a un âge !
    C'est lui imposer des conditions..
    Avant même qu'il n'apparaisse...
    Les larmes que l'on peut verser..
    En voyant nos illusions se briser !
    Valent beaucoup plus que ça...
    Alors moi en attendant d'être assagi par l'âge !
    Je continue d'aimer sans penser au lendemain


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    • Actualités du ministère Publié le 25/03/2024
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    Plan Vigipirate : niveau urgence attentat déclaré

    Plan Vigipirate : niveau urgence attentat déclaré

     

    Suite à l’attentat de Moscou survenu le 22 mars 2024, Gabriel Attal, Premier ministre, a décidé de rehausser la posture du plan Vigipirate sur l’ensemble du territoire national au niveau « Urgence attentat ».

    Un Conseil de défense et de sécurité nationale a été réuni à l’Elysée par le président de la République, le soir du 24 mars. Compte tenu de la revendication de l’attentat par l’État islamique et des menaces qui pèsent sur le pays, le Gouvernement a décidé de rehausser la posture Vigipirate à son niveau le plus élevé : urgence attentat.

    Le plan Vigipirate est un outil central du dispositif français de lutte contre le terrorisme. Il associe toutes les parties prenantes, l’État, les collectivités territoriales, les opérateurs publics et privés ainsi que les citoyens, à une attitude de vigilance, de prévention et de protection.

    Plus d'informations sur le plan Vigipirate

    Les mesures supplémentaires de protection correspondent à un élargissement et un renforcement des dispositifs actuels.

    Si vous êtes témoin d’un événement suspect, en ligne ou non, ou si vous détenez une information importante pour les autorités, adressez-vous directement aux services de police et de gendarmerie en composant le 17 ou le 112.

    Source : Service d'information du Gouvernement


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